Cotonou-Paris, le choc est brutal mais heureux. Comme toujours après ce genre de retour, on regarde ces rues si familières d’un oeil un peu torve, on invente des passés aux passants, des marchés aux marchands et des histoires à ses propres habitudes.
Retour à la maison quelques semaines pour assister à un bel évènement familial. Petite pause avant de repartir de plus belle et découvrir une Afrique peut-être un peu plus entière encore que je ne l’avais imaginé : je pense en fait passer par le Maghreb avant de me diriger vers l’Est africain, de l’Ethiopie à l’Afrique du Sud.
Tout est possible, rien n’est impossible, suite au prochain épisode.